Régionales et départementales : comment la gauche normande s’est dispersée façon puzzle

En Normandie, la récente séquence électorale locale a débouché, à gauche, sur un fiasco. Chacun des protagonistes a préféré défendre son pré carré, entre petits calculs politiques, jeu trouble et bataille d'égos. Avec en toile de fond la prochaine élection présidentielle.

D’un geste ferme et sans appel, le maire communiste de Dieppe Nicolas Langlois éconduit froidement Charlotte Goujon. La maire socialiste du Petit-Quevilly et cheffe de file des élus PS au département, venue à sa rencontre pour tenter d’arracher un ultime deal, n’a même pas le temps de dérouler un dernier argument. Et l’on comprend, instantanément, que s’envole tout espoir de reconquête par la g...

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