Quand les médecins normands désertent aussi les centres-villes

On parle bien plus souvent des déserts médicaux à la campagne. Mais le phénomène prend également de l'ampleur en ville. Dans la métropole rouennaise, les généralistes vieillissent et nombre d'entre eux ne trouvent pas de remplaçants après leur départ en retraite...

Et le désert médical avance. A la campagne, l’écueil fait les gros titres depuis belle lurette. Beaucoup moins, en revanche, en ville où le phénomène gagne pourtant doucement du terrain. Sur le territoire de l’ex-Haute-Normandie en matière de densité médicale, si la métropole rouennaise ne peut être comparée au sud de l’Eure, à la vallée de l’Andelle ou au sud du pays de Caux, il n’empêche que ...

Abonnez-vous dès maintenant

Notre survie repose exclusivement sur vous

  • Accès à tous les articles du Poulpe, sans aucune publicité, résiliation facile. Soutenez l'indépendance !
S'abonner J’ai déjà un compte. Je me connecte