La face cachée du juteux business des huîtres normandes

En cette période de fêtes, les reportages sur l’ostréiculture normande animent l’actualité. Le Poulpe a plongé ses tentacules dans un petit milieu, très subventionné et rémunérateur. En Normandie, les places sont chères et souvent réservées à une petite caste.

En Normandie, l’ostréiculture, activité majeure du littoral, a démarré dans les années soixante-dix. Reconnue comme le plus grand bassin français, la Normandie produit, sur une année courante, entre 22 et 23 000 tonnes d’huîtres creuses, dont plus des trois quarts proviennent du seul département de la Manche.  Loin des clichés traditionnels d’une pratique ancestrale, l’activité ostréicole...

Cet article est réservé aux abonnés du Poulpe

Abonnez-vous dès maintenant

  • Accès à tous les articles du Poulpe, sans aucune publicité, résiliation facile. Soutenez l'indépendance !
S'abonner J’ai déjà un compte. Je me connecte