Par Manuel Sanson - le 29/07/2022 à 09h52
Au coeur de l'été, deux associations de défense de l'environnement ont saisi l'office français de la biodiversité pour déposer plainte contre Sedelka, propriétaire de l'ancien foyer Sainte-Marie, à propos de supposées violations du code de l'environnement.
Pas de répit pour les Jardins Joyeux. Dans la torpeur de l'été rouennais, le dossier ô combien sensible de cet ancien foyer de jeunes filles, propriété de Sedelka-Europrom, promoteur immobilier caennais, n'en finit pas d'agiter le débat et la contestation. Il y a quelques jours, le propriétaire des lieux - dans le quartier Saint-Nicaise, en centre-ville, non loin du lycée Corneille - a e...