«Flippés» mais «soudés» : portraits de soignants au rendez-vous avec la catastrophe

La France les applaudit tous les soirs. Ils soignent malgré l’épuisement, la peur, des conditions de travail infernales. Portraits d’infirmiers, d’étudiants en médecine ou encore d’ambulanciers, volontaires bien souvent.

C’était le 14 février dernier, jour de la Saint-Valentin. Marc et Évelyne Paulin, infirmiers depuis plus de vingt ans, lui à l’hôpital, elle en Ehpad –, déclaraient leur flamme à « l’hosto » devant une banderole flanquée d’un gros cœur rouge sur le parvis du CHRU de Besançon, le grand hôpital de la Franche-Comté, la « deuxième maison » de Marc. Ils célébraient aussi leu...

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