A Rouen, la mairie et la CGT à couteaux tirés

« Le vrai problème, c’est que M. Mayer-Rossignol ne veut plus parler avec la CGT et Sud depuis qu’il a vu la banderole “Rossignol voleur”. Il en a fait une affaire personnelle et les discussions sont rompues », précise une source syndicale. « Dans cette histoire, il s’agit surtout d’une question de personnes. M. le Maire est très attaché à son image et ne supporte pas qu’on l’écorne. La CGT, de son côté, n’arrondit aucun angle, cela les dessert », poursuit une autre.

La grogne dure de...

Abonnez-vous dès maintenant

Notre survie repose exclusivement sur vous

  • Accès à tous les articles du Poulpe, sans aucune publicité, résiliation facile. Soutenez l'indépendance !
S'abonner J’ai déjà un compte. Je me connecte