Maintenant qu’il a obtenu son statut de réfugié, Idriss* se sent libre de dénoncer ce qu’il a subi. Et ce Soudanais en a gros sur le cœur, s’agissant du préfet. « Il a parlé de moi sans connaître ma vie, les problèmes au Darfour, et tout ce que j’ai enduré en Libye et à Malte pour venir jusqu’ici », confie-t-il.
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