La préparation d’une révolution internationaliste communiste peut-elle s’accommoder, au nom de la sauvegarde d’une organisation politique, de violences sexuelles supposément commises par son principal dirigeant ?
En 2012, au sein de la Gauche révolutionnaire, organisation d’inspiration trotskiste dont le coeur historique se situe à Rouen, la réponse à cette question semblait être positive.
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